Humeur du Jour

Publié le par trail-cap

 

Avant d'entamer à proprement parler cette 16ème édition des Boucles de l'Aa à Gravelines, ma deuxième participation consécutive à cette compétition, je voudrais revenir sur mes sentiments d'après course.

 

Tout d'abord une grosse déception, la seconde consécutive après le Trail de la côte d'Opale. L'an dernier sur le même parcours, je finissais en un peu plus de 45 minutes, la semaine dernière, je termine en plus de 48 minutes.

 

Je me pose beaucoup de question après une première partie de saison pourtant encourageante avec de bonnes courses ( Trail des poilus, Semi Wattent-Cassel, Trail Nocturne de saint sylvestre ou bien encore la Panoramique du mont des cats).

 

Qu'est ce qui aujourd'hui me freine pour retrouver ce chrono de 45' sur 10 kilomètres et surtout franchir ce cap symbolique des 44 minutes ?

 

Une grosse déception à l'issue de la course, beaucoup de questions encore aujourd'hui sans réponse : une mauvaise gestion de la course, de l'entrainement, trop d'impatience, pas assez confiance en moi ... comme dirais certains (cela résume plutôt bien le travail qu'il me reste encore à réaliser)

 

"Pour performer, vous devez croire en vous. Il y a un lien fonctionnel entre la physiologie et la psychologie. Si vous adoptez une attitude confiante, votre corps suivra."

"Il importe que vous vous voyiez comme un athlète. Oui, oui, vous! Que votre rythme soit de 3 minutes du km ou de 7 minutes du km, ou que vous ayez 20 ans ou 60 ans, vous essayez de vous dépasser tout comme les coureurs d’élite qui forment la tête du peloton. Soyez fier de vous comme coureur."

"Pour lutter contre l’inconfort pendant une course, essayez d’accélérer un peu le rythme. Cela peut surprendre, mais en allant un tout petit peu plus vite, vous pouvez diminuer la sensation de fatigue. Comme vous utiliserez alors des muscles différents, les muscles fatigués pourront se reposer un peu. Après environ un kilomètre, retournez à votre rythme cible."

"C’est toujours avec un peu d’appréhension qu’on envisage la douleur qui accompagne les courses. Cela dit, plus on arrive à accepter l’inconfort durant une course, plus on peut courir vite. Pour avoir une bonne course, il faut savoir accueillir la douleur."

"Votre cerveau peut travailler avec vous ou contre vous. Ne doutez pas de vos capacités et n’essayez pas de justifier une mauvaise performance éventuelle. Laissez plutôt s’exprimer votre talent et toutes les heures d’entraînement que vous avez dans le corps. Au lieu de laissez votre cerveau agir comme un boulet, préparez-le à vous mener sur la voie du succès."

 

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